Les premiers pas de Facebook dans le business des petites annonces sont difficiles. À peine le réseau social a-t-il eu le temps d’officialiser cette semaine Marketplace que des petits malins ont cru bon devoir investir cette nouvelle catégorie pour y proposer tout et surtout n’importe quoi, y compris des produits et des services explicitement interdits par son règlement.
Depuis le lancement du service le 3 octobre, des internautes sur les réseaux réseaux comme divers sites de presse anglophones (Marketplace est pour le moment disponible uniquement aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Australie et en Nouvelle-Zélande) ont fait état de la mise en vente d’animaux, de produits stupéfiants, d’armes à feu ou encore de services de prostitution.
Des propositions qui sont pourtant interdites sur Facebook.
C’est aussi le cas des boissons alcoolisées, du tabac, de médicaments, de produits de santé, de services de jeux de hasard avec de l’argent réel et d’explosifs. Sont aussi interdits les « biens, articles ou publications jugés comme étant (ou pouvant être) frauduleux, trompeurs, mensongers ou offensants » et les produits ou services pour adultes, sans plus de précision.
La BBC rapporte que Facebook a depuis présenté ses excuses pour ne pas avoir pu empêcher la publication de ces annonces inadéquates. Un porte-parole a ajouté que leur visibilité sur Marketplace a été possible à cause d’un « problème technique » qui a empêché l’outil de vérification automatique de repérer correctement les contenus qui enfreignent le règlement du site.
« Nous sommes en train de régler ce souci et nous allons attentivement surveiller notre dispositif pour nous assurer que nous sommes bien en train d’identifier et d’éliminer les publications en infraction avant de donner un accès à Marketplace à davantage de gens », a expliqué le représentant du réseau social.
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