Dans District Noir, un jeu exclusivement pour deux joueurs, vous devez marquer plus de points que votre adversaire, notamment en collectionnant une majorité de cartes de chaque valeur.
Pour cela, vous ne disposez que de deux actions : poser une carte dans la file, ou prendre les cinq dernières. Mais attention, cela n’est possible qu’une seule fois à chaque manche.
Un jeu de bluff, de prise de risques, avec des règles et un matériel minimaliste. Mais hautement addictif, grâce aux dilemmes constants qu’il propose.
Vous avez lu 0 articles sur Numerama ce mois-ci
Tout le monde n'a pas les moyens de payer pour l'information.
C'est pourquoi nous maintenons notre journalisme ouvert à tous.
Mais si vous le pouvez,
voici trois bonnes raisons de soutenir notre travail :
- 1 Numerama+ contribue à offrir une expérience gratuite à tous les lecteurs de Numerama.
- 2 Vous profiterez d'une lecture sans publicité, de nombreuses fonctions avancées de lecture et des contenus exclusifs.
- 3 Aider Numerama dans sa mission : comprendre le présent pour anticiper l'avenir.
Si vous croyez en un web gratuit et à une information de qualité accessible au plus grand nombre, rejoignez Numerama+.
District Noir au meilleur prix
Notre verdict sur District Noir
On a aimé
- Un matériel et des règles minimalistes
- Des dilemmes à chaque tour
- De jolies illustrations
- Addictif, on enchaîne les parties
On a moins aimé
- Un thème plaqué
- Les parties finissent par se ressembler (comme dans tous les jeux avec si peu de règles)
District Noir : Les caractéristiques
Type | Jeu de cartes |
Genre | Majorité |
Joueurs | 2 |
Durée | 15 minutes |
Age minimal | À partir de 10 ans |
Date de sortie | 23/09/2022 |
District Noir : jeux de société similaires
Les dernières actualités Pop culture
Voir toutes les actus Pop culturePoints forts
- Quelques bonnes idées de réalisation
- Un sujet en or
- Un casting pourtant parfait
Points faibles
- Même Robert de Niro est fade
- Des intrigues secondaires inutiles
- Proteus, vraiment ?
- Un rythme étrange
- Des thématiques mal exploitées
- On ne veut plus jamais entendre la chanson Who Killed Bambi, par pitié