Alors que les recruteurs, et plus généralement les employeurs, se servent de plus en plus du web social pour en savoir toujours plus sur un candidat potentiel, les entreprises sont également de plus en plus réticentes à laisser leurs employés vagabonder trop librement sur le web… au lieu de travailler d’arrache-pied. Une étude fournie par ScanSage, une entreprise spécialisée dans la sécurité web, révèle que les sociétés américaines bloquant les réseaux sociaux ont augmenté de 20 % ces six derniers mois.
Pour mener à bien ce travail, ScanSage s’est basé sur les millions de requêtes web traitées chaque mois par l’entreprise. Au final, les réseaux sociaux sont devenus la première catégorie à être bloquée par les entreprises, dans plus de 3 cas sur 4 : « 76 % des sociétés choisissent de bloquer les réseaux sociaux.«
« De plus, les sites communautaires sont désormais devenus la première catégorie a être bloquée, devant le commerce électronique (52 %), les armes (75 %), l’alcool (64 %), le sport (51 %) et les services de webmail (58 %)« .
La plupart du temps, la raison première des employeurs, parfois justifiée par l’actualité, est la menace que ces réseaux peuvent faire courir à l’entreprise. En effet, Facebook ou Twitter ont plusieurs fois été la cible de spam ou de logiciels malveillants.
Les employeurs ne veulent tout naturellement pas que cela compromette la sécurité du réseau informatique de la société.Néanmoins, il y a derrière une autre explication, parfois avouée à demi-mot : de plus en plus de chefs d’entreprise ont peur de voir la productivité de leurs employés se casser la figure en restant trop longtemps sur des sites sociaux.
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