Le Prince Michael Bates a dit non. Si les pirates de The Pirate Bay rêvaient d’avoir leur île sur laquelle fonder une société sans droit d’auteur, ça ne sera pas sur la plate-forme de Sealand. Le Prince ne veut pas vendre son territoire à quelqu’un qui irait contre les lois internationales. « C’est du vol des droits de propriété, ça ne nous va pas du tout », a indiqué Michael Bates à la CBC. « En fait, j’ai écrit un livre et Hollywood en fait un film, donc ça irait totalement contre nature d’aller vers ce truc du partage de fichiers », a-t-il ajouté. Sealand reste donc à vendre, pour une somme de 750 millions d’euros. De leur côté, The Pirate Bay a déjà commencé à dresser une liste des autres îles que la communauté pourrait acquérir…
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