Décidemment, la RIAA (SACEM américaine) ne perd pas sa motivation, bien au contraire : hier, elle a encore porté plainte contre quatre réseaux universitaires…

La RIAA n’est pas en manque d’inspiration. Cette fois, ce sont les administrateurs réseaux de quatre universités américaines qui sont pris pour cible. L’association de protection des œuvres musicales américaine a en effet porté plainte contre eux, en estimant que ces réseaux (privés, faut-il le préciser…) servent à l’échange de fichiers musicaux sous copyright.

La RIAA estime que le volume de fichiers échangés sur ces quatre réseaux accessibles aux étudiants atteindrait le chiffre faramineux de 2,5 millions de fichiers. L’association réclame aux étudiants, deux du Rensselaer Polytechnic Institute, un étudiant de l’Université Princeton et un dernier de l’Université de technologie du Michigan la modique somme de 150 000 dollars par œuvre protégée (faites le calcul !).

De plus en plus, donc, la RIAA attaque sur tous les fronts, et n’hésite plus à s’en prendre à des particuliers. Dans ce cas précis, nombre d’administrateurs réseaux peuvent être inquiets, tant il est difficile de contrôler les flux qui peuvent circuler sur un réseau, aussi bien en interne (réseau local) qu’en externe (local vers internet)…

Découvrez les bonus

+ rapide, + pratique, + exclusif

Zéro publicité, fonctions avancées de lecture, articles résumés par l'I.A, contenus exclusifs et plus encore.

Découvrez les nombreux avantages de Numerama+.

S'abonner à Numerama+

Vous avez lu 0 articles sur Numerama ce mois-ci

Il y a une bonne raison de ne pas s'abonner à

Tout le monde n'a pas les moyens de payer pour l'information.
C'est pourquoi nous maintenons notre journalisme ouvert à tous.

Mais si vous le pouvez,
voici trois bonnes raisons de soutenir notre travail :

  • 1 Numerama+ contribue à offrir une expérience gratuite à tous les lecteurs de Numerama.
  • 2 Vous profiterez d'une lecture sans publicité, de nombreuses fonctions avancées de lecture et des contenus exclusifs.
  • 3 Aider Numerama dans sa mission : comprendre le présent pour anticiper l'avenir.

Si vous croyez en un web gratuit et à une information de qualité accessible au plus grand nombre, rejoignez Numerama+.

S'abonner à Numerama+

Si vous avez aimé cet article, vous aimerez les suivants : ne les manquez pas en vous abonnant à Numerama sur Google News.