Tout le monde a entendu parler de Wordle, le jeu phénomène racheté par le New York Time, et qui va bientôt avoir une version jeu de plateau et qui a donné lieu à de nombreuses variantes.
Tout le monde a entendu parler de Dall-E mini, l’intelligence artificielle qui permet de créer des images à volonté en mettant n’importe quelle consigne — et surtout les plus absurdes, pour voir jusqu’où peuvent aller les algorithmes.
Aujourd’hui, tout le monde se doit de connaître Wordalle, le mix parfait entre les deux. Vous pouvez y jouer gratuitement, ici (faites seulement attention de ne pas cliquer alors que vous être encore au bureau : vous risquez d’y jouer longtemps).
Wordalle, un jeu parfaitement addictif et frustrant
Je ne vais pas vous mentir : par moments, les consignes (ou prompt, en anglais), sont assez simples à trouver. Mais parfois, même les 7 essais ne seront pas suffisants pour retrouver la consigne exacte, tant elle vient tout droit d’un esprit tortueux (QUI arrive à trouver « Eminem dans GTA », qui ?). Pour les francophones, l’expérience peut être rendue assez délicate, car les consignes à trouver sont en anglais, et il s’agit parfois d’expressions ou de références peu connues.
Mais dans tous les cas, même à travers la frustration et la rage (oui), Wordalle reste une invention absolument incroyable. Déjà, parce qu’elle permet de voir des créations de Dall-E complètement absurdes. Et parce que devoir retrouver le prompt est une expérience vraiment drôle.
Le mieux, c’est que, contrairement à Wordle, vous n’êtes pas limités à une seule partie par jour : vous pouvez en faire autant que bon vous semble (et autant que vous aurez la volonté d’en faire avant de « rage quit »). Si vous êtes au travail, cela peut se révéler dangereux — on vous aura prévenu.
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