L’attente se termine pour God of War Ragnarök, disponible à compter du 9 novembre sur PlayStation 5 et PlayStation 4. Cette suite d’un chef-d’œuvre paru en 2018 est très, très riche, et peut-être craignez-vous d’être assommé par sa densité.
Dans ce guide, vous trouverez huit astuces qui vous permettront de bien entamer cette épopée de plusieurs dizaines d’heures. Elles s’ajoutent aux six choses à savoir, liées aux éléments clés de la précédente aventure.
Huit astuces pour bien débuter dans God of War Ragnarök
Inverser les touches Rond et Croix de la manette
Par défaut, God of War Ragnarök impose une configuration de la manette qui peut paraître étrange : le bouton Rond sert à interagir quand le bouton Croix permet d’esquiver les attaques. Cette disposition est tellement atypique que Santa Monica Studio permet d’inverser rapidement les deux commandes pour une ergonomie plus proche de ce que l’on connaît habituellement (dans la plupart des jeux vidéo, le bouton Croix ser à l’interaction). Bref, si cela vous perturbe, n’hésitez pas à inverser.
Notez qu’on peut configurer le pavé tactile pour qu’il réponde à des commandes (exemple : un balayage vers le haut pour activer la Rage Spartiate). Une manière d’obtenir quelques raccourcis efficaces.
Bien suivre les dialogues de God of War Ragnarök
God of War Ragnarök est un jeu très narratif. Par conséquent, les personnages parlent beaucoup, qu’importe ce qui se passe à l’écran. On ne peut que vous encourager à jouer avec les dialogues en français (tant pis pour la voix rauque de Christopher Judge) et à activer le paramètre « Boost des voix » pour ne rien perdre de ce qu’il se dit. Dans God of War Ragnarök, l’immersion passe beaucoup par les dialogues et il serait dommage d’en louper quelques-uns.
Utiliser les deux armes
Dans le God of War de 2018, Kratos débute l’aventure avec une hache qu’il peut lancer à l’envi. Puis, à un moment clé, il renforce son arsenal avec ses emblématiques Lames du Chaos — son arme de prédilection. Dans God of War Ragnarök, on commence directement avec ces deux armes et c’est un point à ne pas négliger. On peut facilement passer de l’une à l’autre et elles ont chacune leurs avantages : la hache peut occasionner des dégâts de type glace tandis que les lames sont capables de s’enflammer. En fonction des ennemis, il faut en privilégier une plutôt que l’autre. Autrement dit, il ne faut pas hésiter à varier les plaisirs.
En prime, les armes servent à résoudre certaines énigmes. La hache pourra par exemple stopper un courant d’eau ou figer un mécanisme, les lames pourront enflammer des ronces.
Apprendre à parer
Lors des affrontements, le gameplay de God of War Ragnarök axe la défense sur votre capacité à parer (Kratos étant trop lourd pour enchaîner efficacement les esquives). Le principe est simple : attendez le dernier moment pour brandir votre bouclier et être en mesure de riposter efficacement. Le risque est élevé, mais la récompense aussi. Face aux boss, la parade est une arme à maîtriser pour se rendre la tâche plus aisée. Et vous pouvez vous entraîner avec les ennemis de base.
Bien reconnaître les attaques ennemies
Ce point est lié à celui du dessus : toutes les attaques ne peuvent pas être parées — sans quoi, ce serait beaucoup trop simple. Il faut dès lors apprendre à les reconnaître, grâce à des cercles de couleur qui apparaissent sur les ennemis quand ils préparent leurs coups.
Les voici :
- Jaune : attaque puissante qui doit absolument être parée dans le bon timing ;
- Bleu : attaque puissante qui peut être annulée en donnant un coup de bouclier (appuyer deux fois sur L1) ;
- Rouge : attaque puissante impossible à parer (esquive nécessaire).
Les ennemis disposent aussi d’une attaque de base, qui peut soit être parée, soit être encaissée sans problème par le bouclier (en maintenant la touche L1). Elle n’est symbolisée par aucun cercle.
Ne pas oublier son compagnon
On est constamment accompagné dans God of War Ragnarök, et votre allié n’est pas là pour faire de la figuration. Pendant les combats, il fournit une assistance non négligeable. On peut contrôler certaines de ses actions (tirer des flèches), ce qui permet d’étourdir les ennemis plus rapidement. Il y a même l’opportunité de créer des synergies avec un système de runes à équiper. Car, oui, on peut personnaliser l’équipement des alliés pour qu’ils soient encore plus redoutables. Sur ce point, l’interface de God of War Ragnarök est assez imbuvable, ce qui n’encourage pas à naviguer.
Les alliés servent aussi dans les énigmes :
- Tirer des flèches vertes sur les éléments de la même couleur pour les détruire ;
- Tirer des flèches violettes pour décupler les éléments de glace (hache) ou de feu (lames).
Faire les quêtes annexes de God of War Ragnarök
Conseiller de faire les quêtes annexes ressemble à une évidence. Elle se vérifie d’autant plus avec God of War Ragnarök. Non content d’offrir des séquences inoubliables, le contenu secondaire du jeu permet de récupérer des pièces d’équipement et/ou des ressources pour le faire évoluer. Petit conseil : mettez vite la main sur l’armure baptisée « Plastron parfait de Nidavellir », qui permet de récupérer un peu de santé quand on saisit un ennemi étourdi (en appuyant sur le stick droit). Vous la trouverez à Svartalfheim, le Royaume des nains.
Dépenser les points d’expérience
Pendant ses pérégrinations, Kratos gagne des points d’expérience, mais ne montent pas en niveau comme dans un RPG traditionnel (le niveau est régi par la puissance de l’équipement). Dès lors, on pourrait oublier de les utiliser. Dans God of War Ragnarök, l’expérience sert à acheter des compétences, mais aussi à améliorer les attaques spéciales des armes. Et n’oubliez pas de dépenser celle accumulée par vos compagnons. On vous a dit que l’interface était imbuvable ?
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