Il y a un « truc » avec les robots mignons dans les films Star Wars. Les deux premières trilogies pouvaient compter sur R2-D2. La troisième avait BB-8. Dans chaque aventure, il y a toujours un petit droïde là pour faire « bip boup », provoquant alors l’émoi des spectatrices et des spectateurs. Et dans le jeu vidéo Star Wars Jedi: Survivor, il y a BD-1.
Bien évidemment, Cal Kestis est le véritable héros du jeu vidéo disponible depuis le 28 avril sur PS5, Xbox Series S, Xbox Series X et PC. Et si certains ne le trouvaient pas charismatique dans sa précédente aventure (Star Wars Jedi: Fallen Order), il a pris beaucoup d’envergure dans cette suite. Devenu Chevalier Jedi depuis maintenant cinq ans, il a gagné en prestance et en assurance. Malgré tout, BD-1 parvient à lui voler la vedette.
Pourquoi BD-1 est terriblement craquant
Cal Kestis fait la rencontre de BD-1 sur la planète Bogano, au début de Star Wars Jedi: Fallen Order. À l’époque, il n’est qu’un padawan en fuite, pourchassé par l’Empire pour son affinité à la Force (l’Ordre 66, ou génocide des Jedi, a été proclamé, mais il a miraculeusement survécu). Seul et perdu, il trouve en BD-1 un compagnon de route attachant. Certes, il ne répond à ses pensées prononcées à voix haute qu’avec des « bip » et des « boup ». Mais, quand on a passé sa vie à se cacher, avoir l’opportunité de se faire un ami constitue une invitation difficile à refuser. En cela, BD-1 est important.
Mais BD-1 n’est pas qu’un simple faire-valoir. Il a une vraie utilité lors des pérégrinations de Cal Kestis. Capable de scanner tout et n’importe quoi, il gagne peu à peu de nouvelles capacités pour aider au mieux le héros. Dans Star Wars Jedi: Survivor, il pourra envoyer un courant électrique activant des interrupteurs, ouvrir des portes verrouillées ou encore répandre une étrange substance utile pour Cal. Mieux, il a la possibilité de pirater d’autres robots endommagés pour en prendre le contrôle. Encore mieux, sans le droïde, le héros ne pourrait pas se soigner. En termes de sidekick important pour le gameplay, BD-1 a donc de sacrés arguments à présenter.
Et puis il y a cette bouille. On adorait R2-D2 parce que c’était le pionnier. On s’est pris d’amour pour BB-8, car il a la forme d’une sphère. BD-1 joue dans un tout autre registre. Déjà, contrairement à ses pairs, il ne roule pas et compte sur ses deux petites pattes pour avancer (en réalité, il adore passer son temps sur l’épaule de Cal, à l’instar d’un animal de compagnie incapable de quitter son maître). Le design s’appuie aussi sur un petit corps jonché d’une tête en forme de jumelles — les grands yeux, ça marche toujours pour faire craquer les gens, sans oublier les petites antennes. BD-1 ressemble à un Wall-E qui aurait troqué ses chenilles pour devenir bipède. Wall-E est super mignon.
Le studio Respawn Entertainment est parvenu à lui insuffler beaucoup de personnalité grâce au travail sur les animations, précises et détaillées. La manière dont BD-1 réagit aux différents événements est tout aussi remarquable, d’autant qu’il est de nature très curieuse. S’il voit un élément avec lequel interagir, et que vous êtes dans le coin, il foncera dessus pour vous l’indiquer. Pratique pour vous aider à explorer le décor.
Ce n’est pas tout : il apporte quelques éléments de narration, sans tomber dans le piège d’autres jeux misant sur un duo bavard au point de donner trop d’indices sur ce qu’il faut faire. Il existe quand même une commande manuelle pour demander à BD-1 un vrai coup de pouce — utile quand on est bloqué trop longtemps face à une énigme.
Comme c’est le cas pour Cal Kestis, il est possible de personnaliser BD-1 avec des éléments cosmétiques. Star Wars Jedi: Survivor regorge de coffres à trouver, dans lesquels on peut trouver des composants pour décorer le droïde à l’envi. Vous êtes vraiment amoureux de lui ? Il existe une reproduction assez fidèle en Lego. Désolé R2-D2 et BB-8.
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