« Hé, les joueurs et les joueuses de Diablo 3, allez ici sur la carte de Diablo IV et dites-moi si vous reconnaissez quelque chose ». Voilà le message qu’a laissé Mike Ybarra, le président de Blizzard Entertainment, le 12 juin sur Twitter. Un message accompagné d’une capture d’écran, dans laquelle on voit la région du Kehjistan, là où se trouve la cité de Caldeum.
Sur la capture, une zone bien particulière a été signalée. Une zone en apparence banale, où l’on ne trouve qu’un autel de Lilith dans un bâtiment. Tout le reste n’est que ruine : caisses éventrées, roulottes délabrées, cadavres éparpillés. Le coin est même laissé aux monstres, qu’il a fallu occire pour faire place nette. De toute évidence, le lieu était peuplé, autrefois.
Lorsque Mike Ybarra a publié son tweet, il n’a pas été évident de deviner de quoi il parlait — difficile d’identifier quoi que ce soit sur la carte. Il fallait se rendre sur place pour saisir l’importance de ce « surplomb oublié », nom de la zone dans Diablo IV. Mais en arpentent les vestiges de cet emplacement, un écho du passé a ressurgi : il s’agit du campement caché de Diablo 3. D’autres joueurs l’ont aussi repéré.
Le campement caché est un lieu de passage important dans le hack’n’slash, puisque c’est de là que l’on mène ses principales activités durant l’acte II de Diablo III. On y trouve un forgeron, divers marchands, mais aussi Leah, qui connaîtra un destin funeste, l’ange Tyraël sous sa forme humaine, et Adria, la mère de Leah, qui aura une trajectoire ténébreuse.
Dans la chronologie de Diablo, les évènements de Diablo III se déroulent en l’an 1285. Les péripéties de Diablo IV surviennent une cinquantaine d’années plus tard. Cinq décennies qui ont de toute évidence eu raison du campement caché, pour des raisons mystérieuses. Le délabrement des environs semble suggérer que tout a été abandonné il y a un moment.
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