Doom: The Dark Ages, le futur opus de la saga culte, s’appuie sur un arsenal renouvelé et plus dévastateur. Il faudra avoir l’estomac bien accroché devant les effets gores encore plus appuyés.

La saga Doom a toujours été connue pour sa violence extrême. Même quand les graphismes étaient rudimentaires, le sang coulait à flot. Aujourd’hui, les évolutions technologiques permettent aux développeurs de repousser toujours plus loin les effets liés à l’hémoglobine. Pour jouer à Doom: The Dark Ages, opus qui paraîtra le 15 mai, il faudra donc avoir l’estomac bien accroché.

Ce ne sont pas les récents propos de Hugo Martin et Marty Stratton, respectivement directeur et producteur de Doom: The Dark Ages, qui vont rassurer celles et ceux qui détestent le gore. « Nous avons, je pense, le jeu le plus gore de l’industrie », se réjouit Hugo Martin dans les colonne de PC Gamer, le 8 mars. Le jeu de tir doit pourtant rivaliser avec de sérieux clients : les Mortal Kombat ou encore le jeu d’horreur The Callisto Protocol vont déjà très loin dans le répugnant.

Doom : The Dark Ages  // Source : Bethesda
Doom : The Dark Ages // Source : Bethesda

Le prochain Doom sera « le jeu le plus gore de l’industrie »

Les développeurs de Doom: The Dark Ages expliquent s’être inspirés de l’une des séquences les plus violentes du cinéma : le massacre d’un individu en costume par un robot géant dans le premier film Robocop. Hugo Martin indique : « Nous avons dépensé beaucoup d’argent pour notre système de gore. Avec les animations incroyables, le moteur physique, le design sonore et les gerbes de sang, nous essayons de récréer ce moment digne de Robocop. »

Le studio id Software estime être arrivé au niveau 3 de la destruction des démons après le Doom de 2016 et Doom Eternal. L’idée est donc d’aller toujours plus loin, afin d’offrir un arsenal capable de déchiqueter — littéralement — les ennemis. Il ne faut pas avoir peur de voir des membres et de la chair être pulvérisés en temps réel, avec une précision chirurgicale. Cela permet d’apprécier une expérience viscérale et, par ricochet, jouissive. À condition d’aimer le genre, bien sûr.

Pour illustrer leurs propos, Hugo Martin et Marty Stratton citent une arme au nom très évocateur : le Skullcrusher, soit littéralement « l’écraseur de crânes ». Hugo Martin fait savoir : « Cette arme s’appelait à l’origine le Bonecrusher et, ensuite, je pense qu’elle a évolué vers le Skullcrucher pendant le développement conceptuel. Il fait exactement ce que son nom évoque. C’est une sorte de minigun à forte dispersion, qu’on peut transformer en minigun avec une plus longue portée. » Le Skullcrusher peut être comparé au chaingun (mini mitrailleuse Gatling) des anciens Doom, mais doté d’une portée plus courte et d’une cadence de tir très rapide quand on bouge. « Il passe du chaingun lent que vous aimez à une arme qui peut nettoyer toute l’arène », conclut Hugo Martin. Ça promet.

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