The First Berserker: Khazan est un soulslike, soit un héritier des jeux de FromSoftware. Par conséquent, il s’appuie sur un gameplay exigeant, quoiqu’un peu plus nerveux, et une difficulté supérieure à la moyenne. Se lancer dans l’aventure revient à prendre conscience qu’on va passer un sale quart d’heure. Durant notre test, on a souffert le martyre.
Vous souhaitez malgré tout tenter votre chance et enchaîner, à votre tour, les game overs ? Sachez qu’il existe quelques astuces qui peuvent aider à se faciliter la vie, pour mieux appréhender le gameplay en vue de le maîtriser. Gardez toutefois en tête que The First Berserker: Khazan table sur un défi ardu. Un positionnement assumé puisqu’il est décrit comme « un jeu de rôle et d’action hardcore ».

Notre guide de survie dans The First Berserker: Khazan
Jouer avec la lance
Contrairement à beaucoup de RPG d’action, The First Berserker: Khazan ne multiplie pas les types d’armes. Il y a trois catégories : la double lame, l’espadon et la lance. Si jouer avec une très, très grosse épée (l’espadon), est tentant, le choix le plus judicieux, encore plus pour les débutants, est la lance.
La lance a deux avantages : elle permet de porter des attaques rapides et de mettre un peu de distance avec les ennemis, en raison de sa portée supérieure. Ses compétences sont aussi très redoutables, puisqu’on peut enchaîner les coups et acculer les adversaires.
Garde, garde parfaite, esquive… Comprendre les options de défense
La meilleure défense, c’est souvent l’attaque, et The First Berserker: Khazan ne déroge pas à la règle. À l’instar des autres jeux de ce genre, il impose de bien faire attention à son endurance pour ne pas se retrouver en difficulté et à bien utiliser les différentes options pour ne pas prendre de dégâts (options qui consomment de l’endurance, bien sûr).
Voici les différentes options de défense (il faut parfois les débloquer) :
- Garde : elle permet de bloquer un coup, mais coûte de l’endurance ;
- Garde parfaite : déclenchée au moment où un coup est reçu, elle permet de bloquer sans consommer d’endurance ;
- Parade : déclenchée au moment où un coup est reçu et difficile à placer, elle permet d’attaquer plutôt que de bloquer un coup ;
- Esquive : elle sert à éviter un coup et, éventuellement, se retrouver derrière l’ennemi ;
- Esquive parfaite : déclenchée au dernier moment, elle fait éviter un coup en laissant une trainée et en bénéficiant d’un boost des dégâts ;
- Contre-attaque : exclusive à certaines attaques ennemies (les plus puissantes, symbolisées par un logo rouge à l’écran), elle permet de créer une brèche immense pour enchaîner les coups. Attention, c’est une technique difficile à maîtriser (timing serré), et qui peut coûter beaucoup d’endurance.
Certaines options sont plus adaptées selon les situations, qu’importe son style de jeu. Ainsi, les dégâts d’affliction — feu, poison, etc — passent à travers la garde, même parfaite. Du coup, l’esquive devient plus conseillée.
Optimiser les moments où l’ennemi est vulnérable
Comme Khazan, les ennemis peuvent se retrouver dans une position vulnérable, quand ils n’ont plus d’endurance (les humains et assimilés) ou de points de force (les créatures). Quand cela arrive, Khazan peut porter une attaque brutale, capable de faire de lourds dégâts. Mais il y a des choses à savoir pour optimiser.
L’état de vulnérabilité dure quelques secondes (le temps restant est symbolisé par un cercle rouge), pendant lesquelles il est possible d’enchaîner quelques coups — gratuits — avant de terminer avec l’attaque brutale. Si vous avez de l’endurance, c’est donc le moment de taper sans se poser de question.
Il y a deux manières de porter une attaque brutale, en fonction de son positionnement :
- Par devant : le coup brutal restaure l’endurance ;
- Par derrière : le coup brutal est plus puissant et l’ennemi aura plus de mal à s’en remettre.

Bien dépenser ses points de statistiques
Dans The First Berserker: Khazan, on gagne de l’expérience, baptisée Lacrima. Sur chaque point de repos, on peut la convertir en un point de statistique, pour augmenter sa barre de vie, sa jauge d’endurance ou encore ses dégâts. Mais l’idée n’est pas de dépenser n’importe comment : il faut choisir les statistiques liées à l’arme qu’on utilise. En effet, ses dégâts sont indexés sur elles et, dès lors, ce n’est pas nécessairement la Force qu’il faudra augmenter.
Tant qu’à faire, n’oubliez pas de dépenser vos points de compétences, qui s’obtiennent en fonction de nos actions (et ne disparaissent pas quand on meurt, contrairement à la Lacrima, qui doit être récupérée sur le lieu du trépas).
Trouver les cristaux rouges
Il y a quelques secrets à trouver dans les environnements de The First Berserker: Khazan, notamment des cristaux rouges. En les détruisant, on obtient des points à dépenser auprès du personnage prénommé Daphrona pour obtenir des bonus passifs (exemple : récupérer plus de vie quand on prend un objet de soin).

Faire les missions annexes
The First Berserker: Khazan reprend une structure rappelant les jeux vidéo Nioh, avec des missions principales et secondaires. Libre à chacun de terminer les objectifs annexes, mais on recommande de le faire pour deux raisons : gagner en puissance et débloquer certains éléments clés, liés à la base (exemple : la forge, pour améliorer son équipement). Oui, c’est un peu répétitif.
Activer le mode facile au besoin
Les développeurs ont décidé d’intégrer un mode facile dans The First Berserker: Khazan, mode qui n’a normalement pas sa place dans un soulslike. Il réduit les dégâts ennemis, améliore la puissance des attaques, augmente la vitesse à laquelle l’endurance se régénère et assouplit les règles du poids de l’équipement. Attention, cependant, le jeu reste difficile même avec le mode activé.
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