Ce devait être le grand jour. Ce 11 février, à 18 heures (heure de Paris), Lost Ark devait sortir pour tout le monde (les serveurs étaient toutefois accessibles depuis le 8 février pour les personnes ayant acquis un pack Fondateur). Sauf que patatras : les débuts du jeu vidéo en Occident connaissent quelques complications, dont la nature n’est pas précisée.
« Malheureusement, en raison de problèmes de déploiement, le lancement est retardé. Nous espérons que ce problème sera résolu d’ici quelques heures. Nous vous remercions de votre patience et nous vous tiendrons au courant », peut-on lire dans un message publié sur Twitter par le compte officiel du jeu vidéo, un quart d’heure avant le lancement.
Maintenance de Lost Ark avant le lancement
Selon le planning de la journée, l’ouverture officielle des serveurs de Lost Ark en Occident était précédée par une longue phase de maintenance des serveurs, qui s’est déroulée de 14 à 18 heures l’après-midi du 11 février. Une demi-heure avant, des notifications étaient diffusées en jeu pour prévenir les joueurs et les joueuses de la coupure momentanée des serveurs.
Actuellement, onze serveurs ont été mis en place pour la zone européenne. Selon les informations ressortant des sites communautaires, au moins six d’entre eux accueillent une communauté francophone relativement importante — notamment le serveur Trixion, qui est également fréquenté par de nombreux Espagnols. Les autres serveurs sont Asta, Calvasus, Neria, Slen et Zinnervia.
Lost Ark est un jeu sorti en 2018 en Corée du Sud. Le titre mélange des éléments de gameplay issus des MMORPG et des A-RPG et est parfois comparé à Diablo, un jeu de hack and slash proposé par Blizzard. Avec les soucis rencontrés par Lost Ark, il pourra en tout cas l’être sur un lancement laborieux, que Diablo 3 avait connu avec la fameuse « Erreur 37 ».
+ rapide, + pratique, + exclusif
Zéro publicité, fonctions avancées de lecture, articles résumés par l'I.A, contenus exclusifs et plus encore.
Découvrez les nombreux avantages de Numerama+.
Vous avez lu 0 articles sur Numerama ce mois-ci
Tout le monde n'a pas les moyens de payer pour l'information.
C'est pourquoi nous maintenons notre journalisme ouvert à tous.
Mais si vous le pouvez,
voici trois bonnes raisons de soutenir notre travail :
- 1 Numerama+ contribue à offrir une expérience gratuite à tous les lecteurs de Numerama.
- 2 Vous profiterez d'une lecture sans publicité, de nombreuses fonctions avancées de lecture et des contenus exclusifs.
- 3 Aider Numerama dans sa mission : comprendre le présent pour anticiper l'avenir.
Si vous croyez en un web gratuit et à une information de qualité accessible au plus grand nombre, rejoignez Numerama+.
Si vous avez aimé cet article, vous aimerez les suivants : ne les manquez pas en vous abonnant à Numerama sur Google News.