Au delà de l’anecdote qui pourrait faire sourire les anti-microsoft, le problème est potentiellement critique pour les millions d’utilisateurs qui n’ont pas un système à jour. En effet, les inévitables failles de Windows 2000 et de Windows 4.0 qui proviennent de cette partie du code sont mises au grand jour et des hackeurs commencent déjà à s’en emparer.
Pour l’instant, Microsoft choisit la méthode pacifique pour tenter de limiter la dissémination de son code source sur les réseaux P2P. Ils cherchent en effet ceux qui partagent le code sur Kazaa, et leur envoit un message pour les prévenir que c’est illégal. « Nous demandons aux utilisateurs, premièrement, d’arrêter tout simplement de le partager et de le distribuer, et, deuxièmement, de l’effacer et de le détruire », explique le porte parole de Microsoft, selon qui des réponses positives auraient été obtenues.
Ce n’est pas la première fois que Kazaa est utilisé de cette manière puisque la RIAA avait elle même tenter l’expérience pour faire peur aux utilisateurs; ce qu’avait condamné son éditeur Sharman Networks.
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