Qu’est-ce qu’un geek ? Chacun a très certainement sa propre définition, basée sur ses expériences et ses connaissances de cette sous-culture. Pourtant, si ce terme semble devenir un véritable effet de mode, le geek garde toujours une certaine image péjorative dans la population. La preuve dans un micro-trottoir.

Qu’est-ce qu’un geek ? Véritable icône de la sous-culture, le terme semble revêtir autant de définitions que d’individus se revendiquant de cette mouvance. Preuve que le geek est devenu un phénomène de société… mais qui semble toujours bien difficile à expliquer ! Malgré son entrée officielle dans le dictionnaire Larousse il y a quelques mois, les opinions divergent quand au vrai sens à donner au terme « geek ».

Le geek. Pour certains, il s’agira d’un stéréotype décrivant une personne passionnée, obsédée par le domaine informatique. Pour d’autres, il s’agira d’un individu trainant certaines tares propres à ses occupations. Enfin, certains imagineront en être simplement parce qu’ils sont des consommateurs compulsifs de gadgets technologiques. L’achat du dernier mobile dernier cri, du dernier ordinateur portable à la mode vous propulserait automatiquement dans le cercle fermé des geeks.

Qu’elles semblent lointaines les références à la science, aux super-héros, aux jeux vidéos, aux jeux de rôle ou encore à l’univers fantastique tiré de la littérature ou du cinéma. Désormais, le geek est un outil marketing. Le geek semble avant tout polymorphe et banalisé à saturation. Au final, le geek ne ressemble plus à rien.

En tout cas, l’image d’Epinal semble toujours aussi péjorative : le geek « dort avec un sac de couchage sous son bureau », « un mec avec des lunettes carrées et une coiffure bizarre », « un neuneu », « un perturbé », « bouffe de la merde, il sort pas trop et il a que des amis garçons qui font comme lui », « obsessionnel, collectionneur », « sur son PC, sans vie sociale », « hackers », « pas de vie extérieure », « un informaticien, un mec un peu intellectuel », « passe à côté de l’essentiel », « des grosses têtes »…

Et vous, comment définiriez-vous ce terme ?

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