Lorsqu’une nouvelle version d’un programme est publiée, sa diffusion chez les utilisateurs peut prendre un certain temps. Entre ceux qui ne peuvent pas faire la mise à jour parce que leur système est obsolète et ceux qui n’y pensent pas, il existe de nombreuses raisons qui permettent de comprendre l’état de fragmentation d’un logiciel. Une situation à laquelle n’échappe évidemment pas Android.
Le système d’exploitation de Google est en effet soumis à une forte fragmentation, puisque la plate-forme des développeurs Android recense neuf versions différentes de la plate-forme. La version la plus ancienne repérée par le site est la 1.5, baptisée Cupcake et sortie le 30 avril 2009, tandis que la plus récente, estampillée 3.2, est arrivée le 15 juillet 2011.
Il faut toutefois noter que trois distributions d’Android pèsent à l’heure actuelle un peu plus de 95 % de l’ensemble des versions. Il s’agit d’Android 2.1 (Eclair), dont la part de marché est évaluée à 9,6 %, d’Android 2.2 (Froyo), situé à 35,3 %, et d’Android 2.3 (Gingerbread), dont les différentes mises à jour lui permettent de peser un peu plus de la moitié du total (50,6 %).
Pour établir ces statistiques, les développeurs Android se sont basés sur les smartphones qui se sont connectés à l’Android Market au cours des 14 derniers jours. Les chiffres ne permettent donc pas d’avoir avec précision le niveau de fragmentation de l’O.S. mais donnent malgré tout une bonne photographie de la situation en ce début de mois de décembre.
Si vous avez un téléphone ou une tablette sous Android, quelle est la version de l’O.S. ? Avez-vous récemment mis à jour le système d’exploitation ? Si vous ne l’avez pas fait, pourquoi ?
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