Testée depuis le début de l’année aux États-Unis, l’option permettant d’estimer dans Google Maps l’état d’occupation des parkings localisés à proximité du conducteur se déploie en Europe. La firme de Mountain View vient en effet d’annoncer que dix-neuf villes européennes sont désormais prises en charge par son application de cartographie, en plus des agglomérations américaines déjà supportées.
Sont concernées les villes espagnoles d’Alicante, de Barcelone, de Madrid, de Malaga et de Valence, cinq communes allemandes (Cologne, Darmstadt, Düsseldorf, Munich et Stuttgart), la capitale des Pays-Bas mais aussi celles du Danemark, de Russie, de Suède et de République tchèque. On dénombre aussi deux villes anglaises, Londres et Manchester, et deux italiennes, Milan et Rome.
La Ville Lumière est également prise en charge.
Dans Maps, l’estimation du taux d’occupation est représentée par un pictogramme « P » qui affiche trois niveaux d’information et deux codes douleur : en rouge, cela veut dire que le parking n’a a priori plus beaucoup ou plus du tout de places (la mention « restreint » apparaît) ; en bleu, il y a de bonnes chances pour que vous trouviez un emplacement où vous garer (« moyen » et « facile »).
Dans son message, la firme de Mountain View explique que les informations qu’elle relaie dans son application mobile mêlent à la fois des données historiques de stationnement ainsi que de l’apprentissage automatique pour essayer d’anticiper le taux d’occupation actuel ou à venir des parkings. Des explications sur l’approche adoptée par Google sont données dans un article de recherche.
Hormis les villes européennes, Google annonce que l’option arrive également au Canada, dans trois villes (Montreal, Toronto et Vancouver), ainsi qu’au Brésil, à São Paulo et Rio de Janeiro.
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