C’est dit : l’année où deux iPhone se partagent le haut du panier chez Apple est arrivée. À notre gauche, on trouve l’iPhone 8 et sa déclinaison « 8 Plus », un concentré de technologies récentes dans le corps d’un iPhone qui ressemble à s’y méprendre à la génération 6. Une gamme de produits raffinée jusque dans ses derniers recoins, qui a eu le temps de mûrir avec les ans. À notre droite, l’iPhone X toise le futur avec un design repensé, une version d’iOS 11 qui change l’ergonomie du smartphone et une technologie de déverrouillage par reconnaissance faciale qui promet de révolutionner le secteur.
Entre le choix de la raison et le choix de l’avenir d’iOS, il y a un monde. Mais, malgré le côté « cadeau à celles et ceux qui sont prêts à tester nos nouvelles idées avant tout le monde », Apple ne serait pas Apple si la copie n’était pas, déjà, un comble de raffinement. L’iPhone X n’est pas une accumulation de tests. L’iPhone X est une leçon de maîtrise sur le marché du smartphone.
Design et caractéristiques : l’iPhone réinventé
Contrairement à l’iPhone 8 Plus qui nous place en terrain connu niveau design (seuls les matériaux changent depuis la génération précédente), l’iPhone X est d’abord un renouveau esthétique. L’iconique bouton Home, héritage de l’ère Steve Jobs et, peut-être, des iPod, disparaît après 10 années de bons et loyaux services. Il a servi de maître à l’interface d’iOS, de mentor pour les nouveautés (Siri, multitâches, Touch ID…) et d’icône pour différencier le smartphone d’Apple des autres smartphones. Symboliquement, sa mise à mort est donc importante pour la mythologie de la marque, d’autant qu’il a été remplacé…
… par le « notch ». L’encoche. L’entaille. La saignée. Bref, le bout noir en haut de l’écran qui embarque Face ID et son moteur de reconnaissance faciale et donne à l’iPhone X une forme reconnaissable entre mille. Côté marketing, c’est réussi : à l’heure où tous les smartphones « borderless » se ressemblent plus ou moins, l’iPhone X sort du lot et se repère en un clin d’œil. Côté design, les avis sont déjà plus mitigés : certains détestent cette barre au point de chercher à tout prix à la masquer ; d’autres y voient ni plus ni moins qu’une idée pas plus mauvaise qu’une autre.
Car, il faut considérer plusieurs choses à son sujet : elle a la double tâche de renfermer le hardware de Face ID et de permettre aux réglages et autres informations toujours nécessaires à afficher d’être surélevées par rapport à la surface d’affichage. En pratique, le contrat est rempli : on se retrouve avec les informations (heure, batterie, réseau) au même niveau que l’encoche et l’écran qui commence en dessous. Mécaniquement, cela laisse donc plus de place à l’affichage, les « cornes » étant un bonus.
Pour terminer sur l’écran, le premier OLED sur un iPhone, on peut se baser sur deux choses pour en juger. Subjectivement, c’est une baffe. Les couleurs sont magnifiques et bien moins saturées que celles d’un Samsung — TrueTone fait son travail pour ajuster en permanence et en temps réel la colorimétrie de l’ensemble. La luminosité dépasse tout ce que l’on a pu voir sur des smartphones aujourd’hui et les caractéristiques de l’OLED (noirs absolus, notamment), viennent sublimer l’ensemble. Le « notch » joue même un nouveau rôle : celui de fondre le physique dans le numérique. On a vraiment l’impression de toucher un matériau plus qu’un univers qui s’anime sous l’écran. Posé sur une table, allumé, l’écran est tellement réaliste qu’on a la sensation qu’une feuille de papier s’est posée sur la dalle.
Objectivement, la maîtrise d’Apple qui a fourni son cahier des charges à Samsung a été démontrée dans de nombreux tests. On lit que l’écran approche la perfection ou que l’OLED n’a jamais atteint ces qualités avant l’iPhone X. Bref, les tests en laboratoire tendent à confirmer une impression quotidienne : la dalle de l’iPhone X est une nouvelle référence. Pour un coup d’essai, c’est un coup de maître.
Le reste du smartphone est remarquable en tous points : on trouve le dos en verre de l’iPhone 8 Plus qui permet la recharge sans fil, en version nacrée ou grise et des bords qui, nostalgie aidant, rappellent les premiers iPhone, tout en rondeurs et en reflets métallisés. L’ensemble est extrêmement réussi et à l’image de ce que le constructeur a su proposer année après année : de la haute technologie dans un écrin de luxe. Alors certes, on ne lui donnera pas sa chance après une chute, mais visuellement et en mains, c’est un vrai régal.
Dans les entrailles de la bête, on trouve tous les composants de dernière génération proposés par Apple, le tout protégé par un revêtement qui permet à l’engin d’être waterproof. L’iPhone X est une bête de puissance brute, comme l’iPhone 8 : vous n’aurez aucun problème à faire tourner tout ce que propose l’App Store, maintenant et dans les années à venir. Petit bonus que la conférence de presse ne laissait pas percevoir : l’autonomie de l’engin est la meilleure que l’on ait pu voir sur un iPhone depuis bien longtemps. La batterie permet de tenir une très grosse journée complète et s’offre le luxe de démarrer la journée qui suit avec une vingtaine de % dans le bide. Couplez cela à la charge rapide et vous ne devriez avoir aucun problème.
Tout cela, pour faire quoi ? Eh bien, grosso modo, redécouvrir iOS.
iOS repensé : l’iPhone de demain est déjà là
Généralement, nous passons très vite sur les usages liés à un système d’exploitation mobile tant ils ne changent pas radicalement d’année en année. Cette fois, en revanche, il y a matière à en discuter tant l’iPhone X est une coupure radicale entre l’avant et l’après sur iOS. Tout ce qui est lié aux fonctionnalités reste similaire — HomeKit est toujours incroyablement pratique, les applications et jeux fonctionnent tous au poil pour peu qu’ils soient sur l’App Store, la réalité augmentée est de mieux en mieux, le système est toujours aussi sécurisé et chiffré… Bref. Du connu.
Ce qui change, c’est bien l’autre aspect d’un système d’exploitation : son interface et la manière de la parcourir. Deux éléments centraux sont au cœur de cette refonte et feront office de sous-parties : Face ID d’abord et le cœur d’iOS 11 ensuite, devenu tout tactile.
Face ID
Sur Numerama, nous n’avons jamais caché nos réticences vis-à-vis du déverrouillage par reconnaissance faciale. Quand Samsung a présenté sa technologie de reconnaissance de l’iris sur le Note 7, nous avions imaginé une expérience parfaite et sans friction avant de condamner cette interface lente, inadaptée à la plupart des situations et nécessitant plus d’effort qu’un capteur d’empreinte digitale pour fonctionner. Comme d’autres avant lui, le Coréen a échoué à rendre une autre forme de sécurité biométrique agréable au quotidien. Il allait donc falloir une bonne couche de maîtrise pour nous convaincre, en pratique.
Face ID part avec des avantages par rapport à la concurrence : tout le hardware qui sert à son utilisation (détaillé ici) est contenu dans l’encoche et lui donne a priori la capacité d’être meilleur. Sécurisé, rapide et efficace : voilà les trois éléments qui doivent être pris en compte. La première configuration de l’engin passe par un enregistrement du visage de l’utilisateur. On perd la possibilité, par rapport à Touch ID, d’enregistrer l’empreinte d’une autre personne qui serait autorisée à déverrouiller notre iPhone. On gagne en revanche en rapidité : adieu les multiples pressions et les positions du doigt. On tourne la tête deux fois et c’est terminé.
Les premières minutes sont déconcertantes : si on remarque tout de suite que Face ID se déclenche hyper vite et dans toutes les conditions possibles (dans le noir, avec ou sans lunette, avec ou sans chapeau, avec ou sans barbe…), on tente de regarder le temps qu’il met à déverrouiller l’iPhone. Et on voit le petit cadenas se défaire ou l’animation s’activer et on pense instantanément : « J’avais raison, c’est plus long qu’avant… ». Sauf que ce test qui relève du benchmark et qui permettra d’affirmer que c’est effectivement plus long s’oublie à l’usage.
Hier, on appuyait sur le bouton pour entrer dans l’iPhone. Aujourd’hui, on le regarde — l’intention compte, signe de sécurité –, il s’allume dans le mouvement et on glisse notre doigt de bas en haut. L’opération prend moins d’une seconde et ne se remarque même plus après quelques heures. C’est bluffant, mais Face ID fonctionne tellement bien qu’il parvient à nous faire gommer 10 ans d’utilisation mémorisée dans notre pouce. Le nouvel automatisme est pris et on a l’impression que le capteur d’empreinte digitale est une technologie archaïque.
Cela amène des considérations liées à la sécurité qui entrent dans les recherches d’ergonomie : les premières heures, on se demande légitimement si l’iPhone est bien verrouillé. Il n’y a qu’à le regarder pour qu’il se déverrouille — on a l’impression de ne rien faire et d’être, paradoxalement, moins rassuré.
Hier, on appuyait sur le bouton pour entrer dans l’iPhone. Aujourd’hui, on le regarde
C’est probablement pour cela que Apple a choisi cette animation de cadenas, trop lente. Il fallait rassurer visuellement les premiers utilisateurs. Elle n’est d’ailleurs pas utile : Face ID a bien souvent travaillé avant qu’elle se termine et un utilisateur aguerri sera sur ses apps avant son exécution. On a presque l’impression que Face ID pourrait être encore plus rapide, mais que Apple a ralenti son exécution côté logiciel pour ne pas apeurer. Une sorte de tutoriel dont l’utilisateur se retrouve prisonnier : on aimerait pouvoir se débarrasser de toutes ces animations une fois l’objet connu. Ce sera sûrement pour plus tard.
On voit ainsi que toutes les interactions de l’iPhone X ont été pensées pour que Face ID ne soit pas mis en défaut. Pour lancer Apple Pay, il faut appuyer deux fois sur le bouton « Power » : Face ID crée l’autorisation quand l’iPhone est en face de vous et vous invite à le poser sur le terminal de paiement. Ce processus aurait pu être catastrophique s’il avait été pensé autrement (poser l’iPhone, attendre Face ID, devoir se pencher sur le terminal…) : comme souvent, on reconnaît Apple dans cette cohérence.
De même, comme Face ID permet de lire les notifications (qui restent donc privées si quelqu’un regarde votre iPhone), on s’attarde plus sur cet écran qui était un peu boudé auparavant. Alors qu’il était mis de côté dans notre routine avec un Touch ID qui le bypassait complètement, on a appris à lui donner sa chance et il est entré dans notre quotidien : on n’hésite plus à répondre directement dessus à des mails ou des SMS, dans la mesure où le contenu est désormais complètement chiffré — et crypté — pour les autres. Ce voile qui se trouvait au-dessus d’iOS est devenu, grâce à Face ID, un écran fondamental d’iOS.
En bref, Face ID est déjà aujourd’hui une technologie bluffante qui a réussi à convaincre les sceptiques — pour ne pas dire détracteurs — que nous étions. Vous êtes déjà, en 2017, à niveau de confort égal avec un iPhone 8 Plus et Touch ID : on n’ose imaginer ses évolutions, logicielles à moyen terme et matérielles à plus long terme. Oh, et si vous désirez le désactiver en urgence, par exemple si l’on vous demande votre smartphone à la douane américaine, une combinaison discrète de touches vous permet de le désactiver rapidement (appuyez 2 secondes sur power + bouton volume bas).
Bref, l’adage se répète. « Certains le font, Apple le fait bien et le marché suit ».
iOS 11 Gesture Edition
Quand les smartphones Android se sont séparés de leurs boutons, la solution a été simple : cloner la barre physique et la transformer en barre virtuelle. C’est encore aujourd’hui le choix qui domine le marché et qui a créé le smartphone sans bordure et qui, paradoxalement, continue à perdre des pixels logiciels au lieu de repenser efficacement son ergonomie. Apple, de son côté, a transformé le bouton d’iOS en un ensemble de gestes qui rappellent le soin apportés aux gestes tactiles des pavés des MacBook.
Apple a transformé le bouton d’iOS
Vous savez déjà qu’on déverrouille désormais un iPhone en levant le premier écran — c’est aussi le geste qui vous permet de revenir à l’écran d’accueil. Il « pousse » l’application ouverte en arrière-plan. L’animation est parfaite et le système réagit sans douter. Une nécessité, puisque le multitâches se trouve désormais à mi-course du mouvement : bloquez votre doigt et, instantanément, vos autres fenêtres apparaissent. L’habitude se prend vite et le système est tellement bien calibré qu’il saisit tout de suite votre intention — même sur l’écran d’accueil.
La petite barre, trop épaisse et trop large aujourd’hui, qu’on retrouve en bas de l’écran pour signifier ce mouvement permet aussi de passer d’une app à l’autre comme s’il s’agissait d’un ascenseur horizontal. Une autre fonctionnalité qu’on se met à utiliser en un rien de temps. Les autres gestes tactiles s’imbriquent parfaitement dans cette nouvelle logique d’usage : on tire toujours au milieu de haut en bas pour Spotlight et de tout en haut vers le bas pour les notifications.
La seule interaction qui perd un peu en accessibilité, c’est malheureusement le centre de contrôle. Il se retrouve en effet en haut à droite (tirer depuis la « corne ») et s’avère donc difficilement accessible depuis une position confortable pour les autres utilisations du smartphone. Il faudra bouger la main pour y accéder. L’option d’accessibilité pour faire descendre l’écran qu’on activait avec une double touche sur le bouton central existe toujours, mais n’est pas activée par défaut : c’est un glisser de haut en bas sur la partie basse de l’écran (au niveau du dock).
L’autre perdant de cette configuration, à l’usage, c’est Siri. Alors qu’il se trouvait tout le temps à portée de doigt par le passé, il est maintenant cantonné à un appui long sur le bouton « Power ». Cet usage qui était autrefois réservé à l’extinction de l’appareil n’est pas du tout évident. Notre pouce sait que l’interaction va éteindre l’iPhone — il se trompe, mais il va falloir du temps pour lui désapprendre tout cela. En pratique, on sollicite beaucoup moins l’assistant d’Apple que par le passé… et ce n’est peut-être pas bon signe, dans la mesure où on s’aperçoit qu’on ne le regrette pas des masses.
Centre de contrôle et Siri exceptés, toutes les interactions viennent en main en quelques minutes — on s’en étonne, sur un système qui s’est reposé sur un bouton central pendant 10 ans. C’est un signe que l’entreprise de Cupertino a travaillé et retravaillé sa copie pour éviter de présenter un objet qui ne serait qu’un iPhone sans bouton : au contraire, c’est plutôt un iPhone avec gestes tactiles. On en redemande.
Appareil photo, Animojis et caméra
Avec ses trois caméras (deux à l’arrière, une à l’avant) et le hardware de Face ID, l’iPhone X a trois missions : rester l’un des meilleurs smartphones pour la photo du marché, proposer les meilleurs selfies du moment et servir de vitrine à AR Kit et à la réalité augmentée. La première brique est facile à poser : l’iPhone X embarque à l’arrière quasiment le même duo d’objectifs que l’iPhone 8 Plus. Le grand angle est le même (strictement) et le téléobjectif est plus lumineux (f/2.4 au lieu de f/2.8) et dispose d’une stabilisation optique contre une stabilisation numérique uniquement sur le 8 Plus.
Sans surprise, on se retrouve donc avec des photos extrêmement réussies et des vidéos en 4K à 60 images par seconde (et jusqu’à du Full HD à 240 images par seconde) de toute beauté. C’est l’iPhone 8 Plus qui avait été plébiscité par nos lecteurs dans notre blind test, il est tout a fait normal d’assumer que l’iPhone X est tout aussi bon — si ce n’est meilleur.
À l’arrière, vous n’aurez donc aucun mal à faire de belles photos, du panoramique au portrait en passant par des clichés en basse luminosité. La gestion du HDR est également impressionnante — la capacité de l’iPhone à saisir les meilleures expositions pour une photo est incroyable (cela se voit très bien sur les photos Live, qui peuvent vous montrer le cliché initial et aller jusqu’au cliché recomposé).
Nous ajouterons plus de clichés après notre comparatif de fin d’année.
C’est à l’avant qu’on trouve une toute autre caméra. En effet, la caméra avant reste la même (7 mpx) que sur l’iPhone 8, mais elle a été renommée en caméra TrueDepth dans la mesure où elle tire parti du hardware de Face ID. C’est ce qui lui permet de proposer les Animojis, qui sont tout à la fois une démo technique impressionnante et un outil de communication rigolo et pertinent. Les petits animaux (ou le caca okay) suivent les muscles de votre visage pour s’animer et le résultat est bluffant. On a vraiment hâte que Apple en fasse autre chose qu’un add-on de Messages : une application dédiée pour faire des enregistrements longs serait déjà la bienvenue. Le raz-de-marée Animoji Karaoké n’est qu’un début.
Et qui peut le lol peut le sérieux : la caméra TrueDepth est le véritable chaînon manquant pour que la réalité augmentée soit efficace en selfie. Aux entreprises et développeurs d’imaginer ce qu’elle sera capable de faire : on sait déjà qu’elle applique mieux les filtres Snapchat (notamment en leur permettant d’interagir avec la lumière locale), elle pourrait tout aussi bien vous permettre de tester des coupes de cheveux, des chapeaux ou des lunettes. Pourquoi pas, dans un futur plus lointain, servir d’appareil médical grâce à sa vision en 3D qui permettrait des prédiagnostics maison rapides.
Le dernier effet, et pas des moindres, est que le mode Portrait avec éclairage devient enfin accessible en caméra avant. Grâce à la détection de la profondeur, l’engin repère le premier plan et l’arrière-plan et parvient à appliquer tous les algorithmes essentiels au nouveau mode Portrait sur la caméra avant — le processeur est alors mis, également, à contribution. Dans de bonnes conditions, le résultat est bluffant.
Nos confrères de FrAndroid ont aussi proposé un test de l’iPhone X. Le smartphone est disponible à partir de 1 129 € dans ces enseignes.
Le verdict
Apple iPhone X
Voir la ficheOn a aimé
- L'écran OLED
- La photo, à l'avant et à l'arrière
- iOS 11 en gestes + Face ID
On a moins aimé
- Pas de câble USB-C / Lightning
- T'es où Siri ?
- Au prix de l'iPhone 8 Plus, c'était mieux
Réinventer l’iPhone après 10 ans, voilà un pari plein d’audace que les équipes de Tim Cook ont voulu relever. Et même en ayant joué la rupture sur tant de niveaux, du logiciel au matériel en passant par l’ergonomie, Apple s’en sort avec talent et maîtrise. L’iPhone X n’est pas qu’un cadeau mêlant nostalgie et futurisme : c’est un smartphone parfaitement conçu qui ne mérite que des superlatifs.
Le plus impressionnant est peut-être que toute cette nouveauté est si vite entrée dans nos habitudes que nous avons oublié que nous avions aussi, en mains, un smartphone qui n’a plus rien à prouver, embarquant l’écosystème le plus complet et le système d’exploitation le plus sécurisé du marché.
Si Cupertino voulait nous donner un avant-goût du futur des smartphones, on a hâte de voir la suite.
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