Oculus a — encore — annoncé un nouveau casque de réalité virtuelle. Après l’autonome Quest présenté il y a quelques mois (mais toujours pas disponible), l’entreprise fait place au Rift S, remplaçant du Rift officialisé dans un communiqué de presse publié le 20 mars 2019 dans le cadre de la GDC. Il fêtera les trois ans de son prédécesseur.
Le Rift S s’appuie sur deux arguments : une meilleure qualité d’affichage grâce à des écrans améliorés et un dispositif de tracking intégré pour une reconnaissance de mouvements à l’échelle d’une pièce sans aucun capteur externe. Livré avec deux manettes Touch remaniées, l’Oculus Rift S sera disponible au printemps prochain, au prix de 449 euros.
1280 x 1440 pixels par œil
Pour améliorer le confort visuel une fois que l’on est immergé dans un jeu vidéo, le Rift S passe à une résolution de 1280 x 1440 pixels par œil, contre 1080 x 1200 pour le premier Rift, d’après les précisions fournies par The Verge. Malgré cette densité de pixels revue à la hausse, le casque fait moins bien que le HTC Vive Pro, sorti il y a bientôt un an (1440 x 1600 pixels). Bon point : il se dote de son propre système audio.
Conçu en partenariat avec Lenovo, le Rift S dispose d’un design calqué sur celui du PlayStation VR de Sony. Ainsi, on retrouve cette sangle rigide et réglable grâce à une molette située à l’arrière. On ne pourra pas en vouloir à Oculus, la solution du constructeur japonais étant l’une des plus confortables du marché.
Contrairement à l’Oculus Quest, le Rift S a besoin d’un PC pour fonctionner (liaison par un seul câble). La configuration minimale réclame une carte graphique GTX 1050Ti ou Radeon RX 470, un processeur Intel i3 ou AMD Ryzen 3 et 8 Go de RAM. Bien sûr, plus votre PC est puissant, plus les graphismes seront de qualité et les performances au rendez-vous.
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