L’ex chanteur du groupe Take That, aujourd’hui détenteur du deuxième plus gros contrat de l’histoire de l’industrie du disque après Michaël Jackson, avec 150 millions d’euros misés sur ses prestations par EMI, se montre conscient du problème mais résolu à le subir : « Je pense que c’est génial. On ne peut rien y faire. Je suis certain que ma maison de disques, mon manager et mes comptables me haïront de dire cela ».
Robbie Williams aurait ainsi étudié le problème avant de signer pour son nouvel album « Escapology », mais il raconte ce que tout le monde pense tout bas :
« J’ai fait le tour de toutes les maisons de disques et leur ai demandé : Qu’est ce que vous comptez faire à ce sujet ? Et j’ai entendu beaucoup de blabla. Les patrons des maisons de disques ne savent pas que faire »
Courage Robbie, t’as vendu 5 millions d’albums, il n’en faut plus que 13 millions pour rentabiliser le joli contrat…
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